Vêtements Pilou Pilou femme est un chaton beige et blanc aux grands yeux verts qui sert de batteur aux Buffycats. Elle a un tutu rose et un nœud assorti sur le dessus de sa tête. C’est une jolie fille qui aime le ballet et la danse.
Elle peut faire de grands «yeux de chaton» qui hypnotisent ceux qu’elle essaie d’impressionner. Elle utilise cette capacité pendant plusieurs secondes avant que l’effet ne se dissipe. Elle est également assez intelligente pour son âge mais peut parfois agir de manière immature.
Entre autres choses, elle est la batteuse des Buffycats et joue le rôle de l’un des personnages principaux de la série animée 44 Cats. Elle est très fan de ballet et on la voit souvent vêtue d’un tutu rose ou d’un tutu bleu avec un nœud rose sur le dessus de la tête.
Le Pilou-Pilou est une danse traditionnelle de Nouvelle-Calédonie qui se pratique encore aujourd’hui pour célébrer des occasions particulières. C’est un symbole puissant qui véhicule une histoire ancestrale. Le pilou-pilou est une danse qui fait bouger plusieurs personnes ensemble, une danse qui peut parfois atteindre un état de transe.
Il n’y a pas d’histoire écrite du pilou-pilou, mais c’est une tradition qui se transmet de génération en génération. Il est dansé dans un mouvement circulaire autour du centre du cercle, chaque danseur représentant un événement différent. Cela signifie que chaque danse a une signification unique, qu’il s’agisse d’une naissance, d’un mariage, d’une grande bataille ou de l’arrivée de missionnaires français.
Malgré le fait que le pilou-pilou soit toujours dansé, il est désormais interdit en Nouvelle-Calédonie par les autorités coloniales françaises en raison de sa symbolique puissante et des transes que les Kanaks entrent lors de leur danse. Néanmoins, il est toujours pratiqué dans certaines îles et même lors de matchs de rugby en France.
Pilou-Pilou de Clerice Frères – 1907
Une illustration très caricaturale du pilou-pilou de Clerice Frères apparaît sur la couverture de ce magazine en 1907. Il s’agit d’une photo d’une élégante Parisienne en tenue de safari acclamant un homme kanak qui a enfilé un casque colonial, qui est un type de casque utilisé par les guerriers pour protéger leur tête du mal.
On pense que la danse était un hommage à la déesse de la mer, Maui. On pense qu’il a été apporté en Nouvelle-Calédonie par des missionnaires français au XVIIIe siècle. L’image se retrouve aujourd’hui gravée sur la couverture de l’hebdomadaire Le Journal du Commerce des Cafés Calédoniens.
Cet éditorial de Jennifer Dalrymple a été publié dans la revue L’atelier du poisson soluble eBooks en 2017. Il porte sur “Le Burlu, le Gnak et le Pilou-Pilou” et est disponible en téléchargement gratuit sur ce site.